Tribunes d’expression politique
Marcq-en-Barœul, ville dynamique et gestion rigoureuse
Depuis toujours, la municipalité s’attache par ses actions à développer un cadre de vie harmonieux. Notre Maire, Bernard Gérard, et son équipe mènent une action continue avec les agents municipaux pour proposer des parcs et jardins de qualité, assurer la propreté de nos espaces publics, entretenir nos écoles et accueils de loisirs, mettre à disposition des Marcquoises et des Marcquois des équipements culturels de proximité et qualitatifs ou encore renforcer la sécurité des habitants alors que cette dernière est avant tout une compétence de l’État.
Attractive, notre ville l’est plus que jamais au sein de la métropole. Son dynamisme ne se dément pas. La ville attire toujours plus de commerces, d’entreprises et de familles. À Marcq-en-Barœul, l’art de vivre n’est pas un vain mot.
Certaines communes ont parfois vu en peu de temps leur situation rétrogradée en raison de politiques parfois coûteuses et hasardeuses.
L’action de la municipalité marcquoise contribue année après année à une bonne gestion des deniers publics et à une valorisation de son patrimoine. Notre ville est l’une des rares de sa strate à n’avoir aucune dette et à maintenir ses taux d’imposition. Cette gestion demande certes des efforts mais, par les marges de manœuvre que cette politique procure, nos futurs investissements seront tous autofinancés sans endetter les Marcquois.
À vos « Marcq »
Lorsque vous lirez notre tribune en ce début juin, la flamme olympique sera probablement dans le département des Deux Sèvres.
À Marcq-en-Barœul, plusieurs salles de sport serviront dans le cadre de la préparation aux Jeux Olympiques de centre d’entraînement notamment en basketball et handball.
Notre ville possède des installations sportives de qualité que nombre de communes nous envient.
Déjà au début du 20e siècle, le quartier du Croisé-Laroche, que l’on appelait à l’époque le carrefour des 3 villes, avait sa piscine découverte (Luna Park) et également un vélodrome qui fût détruit en 1940.
C’est aussi dans cette première moitié du siècle dernier, en 1931, que fût inauguré l’hippodrome des Flandres. Il faillit disparaître sous les appétits de promoteurs immobiliers. La ville sauva cette installation sportive de grande renommée en 1990 en devenant propriétaire des lieux.
Pour mémoire, notre hippodrome accueille chaque année le tour de France des trotteurs (Grand National du Trot) où se mêlent turfistes et amoureux de sport hippique.
Rebaptisé en 2004 « Hippodrome Serge Charles », il s’étend sur plus de 30 hectares de verdure, c’est un véritable poumon vert au cœur de notre ville. Outre les nombreuses manifestations hippiques, il accueille le golf des Flandres pour un parcours de 9 trous (homologué 18) mais aussi le meilleur club de rugby de la métropole lilloise avec des seniors qui évoluent dans le championnat de Nationale 2.
C’est grâce à une politique sportive active, innovante, ambitieuse et des actions soutenues que se développent constamment le patrimoine sportif des Marcquoises et Marcquois.
Aujourd’hui notre ville possède 9 salles de sport et gymnases où sont pratiquées 46 disciplines par 52 associations sportives.
Le soutien que notre municipalité apporte aux différentes associations sportives ne faiblit pas et reste de qualité.
La nouvelle salle de sport du collège des Rouges Barres, la construction de la halle sportive, l’inauguration du skate park sont quelques-unes des réalisations concrètes.
Des subventions de fonctionnement et aides indirectes telles que prêts de salles de sport, de stades mais aussi mise à disposition d’éducateurs spécialisés pour certaines disciplines.
Le budget primitif 2024 prévoit une enveloppe de près de 400 000 euros destinée aux subventions de fonctionnement pour le secteur sportif.
Par ailleurs afin d’améliorer l’état de santé et la qualité de vie de personnes atteintes d’une affection de longue durée, notre Ville a mis en place le sport sur ordonnance. Elle favorise également la pratique sportive familiale en mettant à disposition trois salles de sport chaque samedi matin.
Enfin, des entreprises marcquoises telles que le centre équestre René Dujardin, la ligue des Hauts de France de tennis, Inesis Golf Park et bien d’autres complètent l’offre sportive.
Quoi qu’on en dise, avec 11 500 licenciés sportifs et 15 000 pratiquants sportifs, il est probable, voire certain, que les conditions d’accueil à Marcq-en-Barœul n’y sont pas étrangères.
À vos marques, prêt, partez !
Pour Marcq-en-Barœul, dépassons l’agitation stérile !
Il est toujours désolant de constater qu’une certaine opposition fasse à ce point le choix de verser dans l’outrance et la caricature permanente, en s'engageant toujours plus dans une rhétorique excessive mêlant surenchère perpétuelle et caricature outrancière et tombe finalement dans une forme de radicalité qui va totalement à l’encontre de l’esprit de responsabilité et d’éthique qui devrait guider toute action politique.
Cette opposition semble avoir abandonné toute autre mode de fonctionnement que celui de l’agitation permanente, qui est l’exacte contraire de l’action constructive que les Marcquois attendent de leurs élus. Chaque moment passé dans cette agitation frénétique représente du temps perdu, qui pourrait être bien mieux investi dans des initiatives constructives et bénéfiques pour l’ensemble des Marcquois.
Servir l’intérêt général, œuvrer pour notre ville et répondre aux besoins des Marcquois, c’est cela qui devrait primer.
Faire cela c’est faire le choix de l’action. Et c’est résolument notre choix.
Louis RANDOUX,
Conseiller municipal délégué en charge des Grands Evénements et du Conseil des Jeunes
Marc DELEURY,
Conseiller municipal
Place à la « vraie fausse » concertation !
Depuis des mois, nous questionnons la commission urbanisme sur l'éventuel projet de la place de la Victoire dans le quartier du Quesne. La réponse était toujours identique : « aucun projet, circulez, rien à voir ! ». Et encore récemment la même réponse nous fut apportée.
Quelle honte pour des élus qui se disent « ouverts, proches des gens et sensibles à la démocratie participative » ! Lors du dernier conseil, comment le maire et sa majorité ont-ils pu affirmer qu'aucun projet n'était acté alors que les plans circulent déjà ? Flagrant délit de mensonge !
Nous sommes convaincus que la place de la Victoire doit faire l'objet d'une rénovation, y compris les immeubles appartenant au bailleur Logis Métropole : mais cette rénovation ne peut certainement pas se faire dans ces conditions et avec le nombre trop important de logements supplémentaires prévus !
Les riverains marcquois mobilisés !
Les riverains ont raison de se mobiliser et nous leur apportons tout notre soutien !
Ce projet est totalement hors sol et ubuesque. C'est grâce à une première mobilisation qu'une réunion publique a (enfin) été organisée dans la précipitation par le maire. Comme pour d'autres projets, c'est la mobilisation des habitants du quartier qui pourra faire modifier ce projet.
Que dire de la pseudo-concertation lancée à grands frais avec un cabinet de psychologie urbaine... Celle-ci n'a pas trompée longtemps les riverains qui ne comprennent pas le nombre de logements démentiel prévu.
Nous notons par ailleurs que la loi SRU, qui fixe aujourd’hui une obligation de 25% de logements sociaux est en cours de révision, comme nous l’avions appelé de nos vœux depuis longtemps. Aucune raison donc de se lancer dans de telles constructions !
Enfin, il n’est pas nécessaire non plus pour les marcquois – seuls quelques élus en rêvent, soucieux de leur confort ou indemnités- de dépasser le seuil des 40 000 habitants à tout prix !
La place de la Victoire portera merveilleusement bien son nom lorsque cette "majorité" aura modifié son projet en profondeur !
Nous sommes à votre disposition pour aider toutes les bonnes volontés !
N’hésitez pas à nous contacter au 07 68 94 38 37 ou par mail sur l’adresse
Denis TONNEL et Jean-François PICHON, Conseillers Municipaux
Une ville amie des écoliers ?
Pour la rentrée 2024-2025 est décidée, dans l’enseignement primaire public à Marcq, la fermeture de 4 classes. Celles-ci viennent s’ajouter aux 2 classes déjà supprimées l’an dernier. Cela nous est présenté comme une fatalité arithmétique, contre laquelle rien n’est faisable, étouffant ainsi toute contestation.
Second constat : depuis quelques années les élèves accueillis dans les écoles primaires de notre ville sont moins nombreux que dans les écoles privées ! Faut-il relier les deux phénomènes ?
La récente baisse de la natalité a évidemment des conséquences sur le nombre d’élèves en maternelle et primaire. Le choix des parents marcquois est l’explication principale, confirmant une augmentation recensée de façon inégale en France.
Historiquement le privé a la part belle dans notre ville. La politique mise en place par les édiles municipaux depuis de très nombreuses années a été de traiter à égalité école privée et publique, alors que la responsabilité républicaine de la commune, soucieuse de laïcité, est de prendre en charge les écoles publiques.
Le cadre réglementaire, que la 5ème République nous impose, implique une responsabilité de la commune vis à vis des conditions matérielles de l’accueil des élèves du privé et ne va pas au-delà ! C’est pourquoi j’ai toujours contesté lorsque la ville dépasse ses prérogatives.
Depuis peu le ministère de l’Éducation Nationale réalise des statistiques régulières sur l’Indice de Positionnement Social (IPS) des familles des enfants de chaque école, collège et lycée public ou privé sous contrat.
Je suis persuadé que les enfants des écoles dont l’IPS est à 154 comme à J.Manuel n’ont pas les mêmes conditions de réussite que dans les écoles qui ont un IPS moyen de 89 comme à l’école C.Peguy !
C’est sur cette réalité que je prends position lors des Conseils Municipaux.
Une ville amie des Ainé·es ?
Récemment la presse locale s’est fait l’écho de plusieurs initiatives lancées par la ville en direction des Ainé·es pour aider ces derniers à « mieux vieillir ». Des ateliers, des thés dansants, un salon des séniors actifs, un colis, un repas à l’Hippodrome, des spectacles … sont des initiatives appréciées de tous et de toutes. Cela concerne essentiellement des séniors autonomes et c’est tant mieux.
Mais qu’en est-il de l’action municipale en direction des séniors en perte d’autonomie ?
Nous avons constaté que sur ce mandat la ville s’est profondément désengagée.
Le CCAS a cessé la livraison des repas à domicile, a mis fin au Service d’Aide à Domicile, et maintenant supprime l’accès au transport par le « Tulip » aux handicapés, (service du CCAS permettant jusqu’alors à tous les Marcquois seniors de se déplacer pour aller aux clubs des ainés, au marché, aux cimetières et à la mairie …).
Toutes ces décisions ont été prises par le CCAS sans qu’il y ait eu débat public au Conseil Municipal car ces services étaient historiquement gérés par le CCAS ou lui ont été transférés récemment par la ville …
Mon rôle d’élu est d’interpeler vis-à-vis des injustices et des discriminations dont sont victimes certains ainé·es parmi les plus fragiles et les plus isolés
Contacter vos élu·e·s :
Permanence vendredi 14 juin de 17h30 à 18h30 au Café Saint Vincent, place du Général de Gaulle. Pour me contacter, laisser un message au 07 83 89 80 59 ou par mail
Philippe CRÉPEL
Conseiller municipal (PCF) avec Odile Vidal-Sagnier (EELV) et Laurent Séailles (PS).